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Vers un partenariat entre juifs et chrétiens
Voici le texte de la déclaration signée par des rabbins orthodoxes d’Israël, d’Europe et des États-Unis, concernant les relations entre le judaïsme et le christianisme.
Au terme de près de deux millénaires d’hostilité et d’opposition mutuelles, nous, rabbins orthodoxes qui dirigeons des communautés, institutions et séminaires en Israël, aux Etats-Unis et en Europe, reconnaissons l’occasion historique qui s’offre à nous aujourd’hui. Nous cherchons à faire la volonté de notre Père céleste en acceptant la main tendue par nos frères et sœurs chrétiens. Juifs et chrétiens doivent travailler ensemble, en partenaires, pour relever les défis moraux de notre temps.
SuiteLes rapports entre catholiques et juifs 50 ans après Nostra aetate
Les dons et l’appel de Dieu sont irrévocables (Romains 11, 29) : c’est le titre d’un nouveau document de la Commission pontificale pour les rapports religieux avec le judaïsme élaboré pour marquer le 50e anniversaire de la Déclaration conciliaire Nostra ӕtate et publié ce 10 décembre.
SuiteNous venons de retrouver, dans le numéro 3-4 de décembre 1949 du Bulletin de l’Amitié Judéo-Chrétienne (l’ancêtre de la revue SENS), un article citant ce qu’écrivait en 1566 le Catéchisme du Concile de Trente, 400 ans avant Vatican II et la déclaration Nostra Ætate.
68 ans après, cet article garde tout son intérêt.
Le 23 novembre 2015 au Collège des Bernardins, à Paris, la "Déclaration pour le jubilé de fraternité à venir", signée par diverses personnalités du monde juif français ( Jean-François Bensahel, rabbin Philippe Haddad, rabbin Rivon Krygier, Raphy Marciano, Franklin Rausky), a été remise par le Grand Rabbin de France, Haïm Korsia, à Son Eminence le Cardinal André Vingt-Trois, Archevêque de Paris et à Monsieur le Pasteur François Clavairoly, Président de la Fédération Protestante de France.
Voici le texte de cette déclaration ainsi que l’enregistrement vidéo de cette soirée :
SuiteIl y a bientôt 50 ans s’ouvrait en octobre 1962 le Concile Vatican II. Les médias en parlent beaucoup depuis le début de l’année 2012.
Même si la déclaration du Concile Vatican II "Nostra Aetate", concernant le Judaïsme, n’a été donnée que le 28 octobre 1965, elle fait partie des actes du Concile Vatican II. Cette déclaration "Nostra Aetate" est l’un de nos textes fondateurs, il est bon de la relire toujours et encore à l’occasion du 50ème anniversaire de l’ouverture du Concile Vatican II (octobre 1962).
SuiteAllocution prononcée par Raphy Marciano, directeur du Centre Communautaire de Paris, lors du Conseil National de l’AJCF du 1er mars 2015
SuiteBruno Charmet, directeur de l’AJCF, "grand témoin" sur Radio Notre-Dame le 28 octobre 2015 de 7h30 à 8h30 commente en direct cet anniversaire des 50 ans de la promulgation de la déclaration conciliaire "Nostra aetate".
SuiteReportage sur le 50e anniversaire de la déclaration Nostra Aetate du Concile Vatican II.
Plusieurs spécialistes de la question des relations judéo-chrétiennes, en particulier Jean DUHAIME et Armand ABECASSIS, qui s’étaient réunis du 27 octobre au 1er novembre 2015 lors d’un colloque organisé par l’organisme "Dialogue judéo-chrétien de Montréal" pour faire le point sur le chemin parcouru durant les 50 dernières années, nous parlent de cette déclaration.
Le partage de l’universel et le respect du particulier
Réflexions sur le cinquantième anniversaire de Nostra Ætate
Le Grand Rabbin René Gutman, Grand Rabbin de Strasbourg, membre du Conseil permanent de la Conférence des Rabbins Européens et son représentant auprès du Conseil de l’Europe, nous a fait parvenir la Déclaration suivante (texte original en anglais).
SuiteLes quelques pages données ici sont proposées à celles et ceux qui ont lu, ou liront, le texte de la Commission pour les relations religieuses avec le judaïsme : « “Les dons et l’appel de Dieu sont irrévocables” (Rm 11, 29). Une réflexion théologique sur les rapports entre catholiques et juifs à l’occasion du 50e anniversaire de Nostra ætate (n. 4) » et qui aimeraient prolonger la réflexion à partir de cette base.
Les auteurs eux-mêmes le présentent « comme point de départ d’un approfondissement de la pensée théologique destiné à enrichir et à intensifier la dimension théologique du dialogue juif-catholique. ».
C’est exactement ce que je tente de faire, en proposant un texte cible, une critique positive qui cherche à prolonger cette réflexion.
Jean Massonnet
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