Au tournant du XXe siècle, la vie musicale en France dépend avant tout du soutien de quelques mécènes éclairés, amoureux de la musique et souvent compositeurs eux-mêmes. Parmi ces mécènes, on compte un grand nombre de juifs – ou d’israélites – qui tiennent des salons de musiques où se produisent les plus grands compositeurs et artistes.