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Kol Nidré (Tous les voeux) כל נדרי

Mise à jour 8 septembre 2013

Chant traditionnel qui ouvre les célébrations de Kippour, le Kol Nidré est un texte juridique (rédigé en grande partie en araméen) qui annule les voeux prononcés de façon inconsidérée. Le Kol Nidré est sans aucun doute la prière la plus populaire de la communauté juive. Elle est le symbole même de Kippour.

A lire : Une version du texte en araméen et hébreu vocalisé, sa traduction française, explications par le rabbin Philippe Haddad et le rabbin Rivon Krygier.

כל נדרי , vocalisé : כָּל נִדְרֵי , tous les voeux en araméen

 Texte vocalisé


כָּל נִדְרֵי וֶאֱסָרֵי וּשְׁבוּעֵי וְנִדּוּיֵי וַחֲרָמֵי וְקוּנָמֵי וְקוּנָחֵי וְקוּנָסֵי
דִּי נְדַרְנָא וְדִי נִנְדַּר
וְדִי אִשְׁתְּבַעְנָא וְדִי נִשְׁתְּבַע
וְדִי נַדֵּינָא וְדִי נְנַדֵּי
וְדִי חֲרַמְנָא וְדִי נַחֲרִים
וְדִי אֲסָרְנָא עַל נַפְשָׁתָנָא וְדִי נֶאְסַר
מִיּוֹם הַכִּפּוּרִים שֶׁעָבַר עַד יוֹם הַכִּפּוּרִים הַזֶּה שֶׁבָּא עָלֵינוּ לְשָׁלוֹם
וּמִיּוֹם הַכִּפּוּרִים הַזֶּה עַד יוֹם הַכִּפּוּרִים שֶׁיָּבֹא עָלֵינוּ לְשָׁלוֹם
נִדְרָנָא לָא נִדְרֵי
וּשְׁבוּעָנָא לָא שְׁבוּעֵי
וְנִדּוּיָנָא לָא נִדּוּיֵי
וַחֲרָמָנָא לָא חֲרָמֵי
וֶאֱסָרָנָא לָא אֱסָרֵי
כֻּלְּהוֹן אִתְחָרַטְנָא בְהוֹן
יְהֵא רַעֲוָא דִי יְהוֹן שְׁבִיתִין וּשְׁבִיקִין
לָא שְׁרִירִין וְלָא קַיָּמִין
וְנִסְלַח לְכָל עֲדַת בְּנֵי יִשְׂרָאֵל וְלַגֵּר הַגָּר בְּתוֹכָם
כִּי לְכָל הָעָם בִּשְׁגָגָה

 Traduction française du Kol nidré

Que tous les vœux, les interdits personnels et collectifs, les serments et choses équivalentes que nous aurions formulés et contractés, toutes les promesses et tous les engagements que nous aurions faits et pris devant Dieu, à compter de la date de ce Yom Kippour-ci et jusqu’au Yom Kippour à venir, nous les rétractons ci-devant, qu’ils soient nuls et non avenus, puisque nous ne sommes pas assurés de les tenir. Nos vœux ne sont plus des vœux, nos engagements ne sont plus des engagements, nos serments ne sont plus des serments.
L’Officiant et l’Assemblée :
« Et que soient pardonnés toute l’assemblée du peuple d’Israël ainsi que l’étranger qui réside parmi eux, car chacun d’eux a agi par inadvertance » (Nombres 15,26).

Source : site massorti.com

 A écouter et voir en ligne :

Une autre source intéressante : Wikipedia

 Une réflexion sur le Kol Nidrei par le Rabbin Philippe Haddad

Ce texte inaugural, chanté sur un ton vibrant et pathétique, n’est pas à proprement parler une prière au sens d’une louange ou d’une sollicitation à l’Eternel, mais une formulation d’annulation " des vœux et serments prononcés par erreur, par imprudence ou exaltation irréfléchie" (Introduction à la traduction française de Créange Ed. Durlacher) que chacun aurait pu prononcer dans l’année écoulée et ne pas tenir.
Il peut être étonnant de commencer un office aussi important de repentir par une telle déclaration, qui renvoie à des considérations de " second ordre ", mais il suffit de comprendre la valeur du vœu (neder) et de l’engagement verbal en général dans la Torah pour saisir la portée de ce Kol nidré.

ASPECT HISTORIQUE
Kol nidré n’est pas une prière au sens de louange ou demande à l’Eternel, mais une proclamation d’annulation des vœux qui auraient pu être proférés durant l’année et non tenus.
Il existe tout un traité du Talmud, le traité Nédarim, qui aborde la question des vœux et des engagements verbaux, et qui offre une juridiction pour défaire éventuellement une parole donnée.
Généralement, cette annulation des vœux (hatarat nédarim) concerne un individu, et est réalisée par un tribunal rabbinique de trois membres ou par un juge compétent, après analyse de la situation.
En ce qui concerne le Kol nidré, en tant que formulation collective, son origine reste incertaine, et n’est pas mentionné dans le Talmud qui fut compilé entre les Ve et VIe siècles.
La première mention de cette " prière " se trouve dans les responsa (questions - réponses) des Guéonim du VIIIe siècle.
En fait, il y eut divergence d’opinions entre les écoles de Soura et de Poumpédita, deux célèbres académies talmudiques babyloniennes. La première refusait sa récitation, considérant que l’on ne pouvait annuler des vœux de cette manière, la seconde école étant plus souple, elle obtint finalement gain de cause dans l’Histoire. Et l’on sait qu’à l’époque de Haï Gaon (vers l’an 1000), la formule faisait partie intégrante de l’office de Kippour.
A l’époque des Guéonim, la période considérée pour l’annulation des vœux était : " Depuis le Kippour passé jusqu’à ce Kippour-ci ". Les Tossafistes rejetèrent la formule pour la suivante : " Depuis ce Kippour-ci jusqu’au Kippour à venir."
Dans le Mahzor de Kippour (livre de prière), on trouve les deux formules, et chacun suivra la coutume locale sans créer d’esclandre.
Au cours de l’office, le Kol nidré est récité trois fois, certains disent pour en faire bénéficier les retardataires, d’autres pour donner un caractère définitif à la proclamation.
En 1240, une disputation tristement célèbre opposa un juif converti au christianisme Nicolas Donin et le tossafiste rabbi Yéhiel de Paris. Parmi l’argumentaire de Donin, se trouvait l’accusation que " les juifs n’ont pas de parole, la preuve, ils annulent leurs vœux, en particulier par le Kol nidré. ". Rabbi Yéhiel répondit qu’il ne s’agissait pas de trahir un engagement prêté en justice ou d’annuler une dette, mais uniquement de reconsidérer un engagement religieux.
En 1860, pour parer à ce même argument antisémite, les rabbins exigèrent que l’on imprime dans le mahzor que le Kol nidré n’annulait point ses devoirs citoyens ni les serments prêtés devant les tribunaux civils.

LE SENS
Abordons à présent l’aspect plus philosophique de la question des vœux et de la parole en général. Et demandons-nous pourquoi un tel cérémoniel et pourquoi de telles discussions d’écoles ? Ne pourrait-on pas appliquer un de ces bons vieux proverbes populaires qui, à défaut d’enfermer toute la sagesse du monde, sont souvent plein de bon sens ? " Les paroles s’envolent, seuls les écrits restent. "

Au nom de l’unité
« Au nom de l’assemblée céleste et au nom de l’assemblée terrestre, nous autorisons la prière avec les transgresseurs. »
C’est par cette proclamation qu’est inauguré le Kol Nidré. Curieuse formule qui appelle un commentaire
Historiquement tout d’abord, ce texte fut établi au moment de l’Inquisition espagnole quand certaines familles juives se convertissaient au christianisme pour ne pas finir dans un cachot ou sur un bûcher. Les marannes pratiquaient en fait le judaïsme secrètement, et se joignaient, quand ils le pouvaient, à la communauté officielle le jour de Kippour. La récitation du « Au nom de l’assemblée » s’inscrivait alors dans un geste de compassion vis-à-vis de ceux qui avaient changé de culte, mais qui avaient gardé leur foi intègre dans la religion de leur père.
Aujourd’hui, cette proclamation prend un sens original, à travers la querelle "laïcs - religieux" dont fait écho régulièrement la presse israélienne. Autant les religieux accusent les laïcs de trahison, autant les laïcs accusent les religieux d’intolérance. Il suffit d’avoir passer un Kippour en Israël pour s’apercevoir que les bouches qui accusent sont les bouches qui pardonnent. Kippour n’a de sens, disent nos sages, que dans la mesure où un homme s’est réconcilié avec son prochain. Dans cet atmosphère de paix, le peuple d’Israël ressemble vraiment selon l’expression de la Tradition à "un seul homme avec un seul cœur" .
En associant le Tribunal divin au Tribunal des hommes, notre formule signifie que par delà les incompréhensions, le peuple d’Israël reste un. C’est le mérite de Kippour de rappeler aux uns et aux autres cette vérité trop souvent oubliée.

Effacer la parole ?
Si ce dicton traduit une réalité psychologique, son contenu n’est pas biblique ! Ou, pour le dire autrement, tout le but de la Torah concernant notre sujet est de lutter contre l’amnésie et la paresse inhérente à toute conduite humaine. En effet, nous lisons : "Il ne profanera pas sa parole, tout ce qui sortira de sa bouche il l’accomplira." (Nombres bamidbar XXX,3)
Pour la Bible, les mots ne s’envolent pas, ils posent un ancrage permanent entre le parlant et son environnement. Si une promesse a été formulée, alors elle doit être tenue, et l’individu restera redevable de son propos vis-à-vis de son prochain, de l’Eternel ou de lui-même, jusqu’à accomplissement de l’acte.
Originellement, une transaction légale (un transfert de droit de propriété ou un mariage) pouvait être effective par une simple proclamation ; mais les hommes étant ce qu’ils sont, les rabbins furent amenés à exiger des témoins et des contrats écrits, à l’image d’Abraham qui refusa le don gratuit de la caverne de Makhpéla.
Parole, texture du monde
Ce rapport à la parole découle de la foi monothéiste. L’Hébreu sait en effet que le monde fut créé par le logos divin (abracadabra : Il créa en parlant.) Les maîtres de la liturgie, voulant éduquer les fidèles, placèrent au cours de l’office du matin, le très beau texte intitulé baroukh chéamar véaya aolam, " Béni Celui qui parla et le monde fut".
La Synagogue, à l’instar du Grand Sanctuaire de Jérusalem (reconstruit soit-il prochainement), n’est-elle pas justement selon le propos d’Isaïe (Isaïe LVI,7)" Maison de prière, et non de sacrifices, pour tous les peuples de la terre ? " Aussi, c’est avec joie et avec de " bonnes paroles " que nous devrions accueillir ces enfants des nations qui avec timidité osent franchir le seuil de notre lieu de prière pour communier avec le Dieu d’Israël, Père de l’humanité tout entière. Mais combien devrions-nous nous lamenter quand la médisance voire la querelle (Que l’Eternel nous en garde) rongent les mailles du tissu communautaire.

Des mots aux maux
Saviez-vous qu’à l’époque biblique, la médisance pouvait provoquer des séquelles corporelles ? Aujourd’hui elles provoquent des angoisses et parfois l’absorption d’antidépresseurs…
La Torah nous décrit sommairement les signes du métsora, cet homme ou cette femme qui avait médit contre leur prochain. En français avoir quelqu’un dans la peau, comme chantait Edith Piaf, souligne un amour fou, le métsora lui porte son ennemi sur sa surface cutanée. Jouant sur les mots, pour souligner que toute réalité est malléable, le Midrash décompose métsora en motsi-ra : " Il fait sortir le mal. "
Toute vie en société commence par l’échange verbal. Une communication corrompue peut être le signe d’une dégénérescence morale. Ecoutons le vocabulaire des jeunes de la rue, le verlan, le style rap etc., ils véhiculent un malaise de vivre qui trahit justement un malaise de civilisation au sein d’une société dont la communication est essentiellement réduite à une sophistication technique plutôt qu’à un véritable " visage à visage ".La parole bonne ou mauvaise laisse toujours des traces, des séquelles. Les nazis l’avaient compris quand Goebbels, ministre de la propagande d’Hitler (de tragique mémoire) déclarait : " Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose. "
A propos du verset " Tu ne maudiras point le sourd." (Lévitique XIX, 4), nous pouvons nous demander en quoi y-a-t-il faute, puisque la personne n’entend pas ? C’est là que la Torah révèle tout son génie : la parole ne concerne pas seulement celui qui écoute, mais d’abord celui qui parle. Nous sommes le premier auditeur de nos propos, même si n’entendons pas toujours ce que nous disons.
Tous les enfants du Talmud Torah connaissent ce Midrash (Béréchith rabba XXXVIII). Térah découvre toutes ses idoles brisées. Il interroge Abraham son fils, qui est l’auteur de l’acte, et ce dernier répond : " Père, c’est la plus grande statue qui a fait cela ", Et Térah de répondre : " ils ont des yeux mais ne voient pas, des oreilles mais n’entendent pas. " Et respectueusement Abraham lui dit : " Fais entendre à tes oreilles ce qui sort de ta bouche. "
Parler signifie prendre conscience que nous émettons des idées et non des sons, en ce sens nous sommes totalement humains.

L’homme, le parlant
Ce souffle divin, à l’origine de toute existence, fut introduit dans les narines d’Adam et anime depuis, le discours de chaque être humain.
A propos du verset " … et l’homme devint un souffle vivant ", la traduction araméenne d’Onquélos (qui est aussi une exégèse) donne : " … et l’homme devint un être parlant ". Genèse béréchith II, 7. Quand les penseurs du moyen-âge durent choisir un terme pour qualifier l’Homme, ils optèrent pour hamédaber " le parlant ", plutôt que " le pensant " aristotélicien.
Mais pour Israël, la parole par excellence est celle révélée à Moïse et aux prophètes qui annoncent aux consciences morales ce que le Créateur attend de ses créatures.
Pour Israël, les Dix Commandements sont d’abord les Dix Paroles, et presque chaque mitsva est précédée de la formule : " Et l’Eternel parla à Moïse pour dire (pour transmettre) ". Et bien que la Torah soit écrite, elle ne prend son sens que par " la Torah qui est sur la bouche ", torah chébéal pé, la tradition orale.
Tout se passe comme si l’écrit n’était que le tremplin de l’oralité, qui une fois rédigée s’ouvrait à de nouvelles paroles, comme les étincelles jaillissant d’un fer rouge battu sur l’enclume (Jérémie XXIII, 29 et Chabbat 88b). Au fond, le grand conflit avec les Saducéens, qui refusaient la tradition orale, portait sur ce point : L’homme, simple mortel et pauvre pécheur, peut-il avoir une responsabilité dans la perpétuation de la Parole divine ? La réponse audacieuse des Pharisiens fut : " oui, et plutôt deux fois qu’une ! " (Cf. Psaume LXII,12)
Cette parole de la bouche est si importante que pour parler de la mort de Moïse, d’Aaron (et de Myriam de façon allusive) la Bible utilise le langage allégorique du " baiser divin " . La mort est d’ailleurs une affaire de bouche, non seulement parce qu’elle est l’organe par où passe le dernier souffle, mais aussi pour ce qu’en dit le Talmud.
" La mort la plus pénible est le croup, la plus douce est le baiser divin. A quoi ressemble le croup ? Aune branche épineuse que l’on voudrait retirer d’une pelote de laine, quant au baiser divin il est comparable au retrait du lait sur la surface du lait. " L’image est intéressante : le lait est la première nourriture de la vie. La tétée rassurante suit de quelques minutes la venue au monde. Le croup est une maladie de la gorge, du lieu d’où sort le souffle. Dans l’idéal, la bouche qui donne la vie est la bouche qui reprend la vie.
Quand Freud voulut guérir les malades de leurs troubles et de leurs souffrances intérieures, tout athée qu’il s’annonçât, ne redécouvrit-il pas, par un désir inconscient, l’un des messages fondamentaux de la tradition d’Israël : l’homme est un parlant . Pour nous, la démarche freudienne, sur ce point en tout cas, s’inscrit tout à fait dans celle du rav Nahman de Braslaw qui recommandait une sorte de thérapie entre disciple et maître.
Voyez cher ami internaute, la tradition juive fourmille d’exemples concernant la valeur de la parole, la difficulté pour l’auteur de ses lignes n’étant pas de trouver les textes, mais de sélectionner les plus … parlants.

Parole de sainteté
Reprenons l’expression du verset : " Il ne profanera pas sa parole " Le verbe ’halol " profaner " signifie que la valeur d’un élément sanctifié a été diminuée, ce qui devait servir au service divin a été descendu au rang de service humain. Ainsi, on parle de la profanation du Chabbat ou de la profanation des objets du Temple, eh bien ne pas tenir sa parole est du même ordre. Tout se passe comme si un engagement verbal était une sanctification de la parole, une élévation. Et la sainteté est à portée de… bouche.
Le rav Nahman de Braslaw disait que le neder est la 614ème mitsva de la Torah, car l’homme prend sur lui, un commandement supplémentaire . Une manière de dire aussi que par le vœu l’homme ressemble à son Créateur : Comme Lui, il parle et comme Lui, il construit un monde.

Avant de conclure, nous nous permettrons cette petite suite midrashique :
Neder s’écrit noun daleth rech, que l’on peur recomposer en Daleth - Ner :"Porte de lumière ". Faire un vœu et l’accomplir c’est porter un flambeau, celui du courage d’avoir été jusqu’au bout de soi-même.
Effacer les vœux avant Kippour ce n’est pas déresponsabiliser l’homme, c’est lui rappeler, comme dit Salomon, que "la vie et la mort sont entre les mains de la langue."

Notes :
Géonim : (Singulier Gaon), Maîtres des écoles babyloniennes après la clôture du Talmud, qui vécurent entre le VIIe et le Xe siècle.
Tossafistes (ou tossefoth) : littéralement "ajouteurs", petits-fils ou disciples de Rachi, école du nord de la France XIIe et XIIIe siècles.
Métsora :A l’époque antique, les personnes qui médisaient contre leur prochain pouvaient être frappées d’une plaie cutanée par décret divin. La traduction lèpre est fausse. Le cas le plus célèbre est celui de Myriam (Nombres XII).
Visage à visage : On lira avec intérêt aux éditions de Minuit, d’Emmanuel Levinas Quatre leçons talmudiques "Envers autrui" et L’au-delà du verset "Le modèle de l’Occident". Cf. également François Lyotard dans La condition post-moderne p.12 Ed. de Minuit qui parle de" l’hégémonie de l’informatique".
Lévitique XIX : Sefer hahinoukh, Livre de l’éducation, commandement 231.
Aristotélicien : Rabbi Yehouda Halévy dans son sefer hakouzi Livre I.
Créatures : C’est pourquoi rabbi Yéhouda Halévy place le prophète au sommet de l’échelle humaine, car il est le vrai porte-parole.
Freud : Cf. Gérard Haddad L’enfant illégitime. Ed. Point hors ligne.
Nahman de Braslaw : "Par le fait de se confesser à un homme juste, l’on peut reconstruire le passé et détruire les mauvaises constructions intérieures" Likoutey Moharan IV,VIII. Cf. Marc Alain Ouaknin Bibliothérapie. Ed. Seuil qui joue sur thérapie et troufat pé (guérion par la bouche).

Source : site du Consistoire

 L’énigme du Kol Nidré par Rivon Krygier

rabbin de la Communauté Massorti Adath Chalom à Paris

Dans l’émission Talmudiques du 08.09.2013 sur France-Culture

Émissions à écouter en direct, ou en ligne ou à télécharger pendant 3 ans.