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FÊTES JUIVES D’AUTOMNE : FÊTES DE TICHRI 5781

Cette année, les fêtes juives d’automne ou fêtes du mois de TICHRI commenceront, selon le calendrier hébraïque, avec les deux jours de ROSH HACHANA (nouvel an juif) les 19 et 20 Septembre 2020 ; suivis de YOM KIPOUR (le grand pardon) le 27 Septembre au soir ; puis des fêtes de SOUKHOT, fêtes des cabanes du 3 au 10 Octobre.

Cette année du fait des restrictions d’ordre sanitaire de nombreux fidèles n’ont pas pu entendre le traditionnel son du chofar qui marque la fin des 25 heures de jeûn et prières de YOM KIPPOUR. Mais de nombreuses synagogues ont enregistré la sonnerie de leur choffar . En voici un exemple :
 SON DE CHOFAR

 SENS DES FÊTES JUIVES D’AUTOMNE.

Si cette année les modalités de participation aux offices de ces différentes fêtes imposent les contraintes liées à la Codiv-19, le Service National des Relations avec le Judaïsme (SNRJ) de la Conférence des Évêques de France, CEF et la Fédération Protestante de France, FPF proposent comme chaque année des cartes de vœux que les Chrétiens pourront adresser à leurs amis Juifs à l’occasion de la nouvelle année 5781.

 BON DE COMMANDE, à renvoyer à KECHARIM - SNRJ, 58 avenue de Breteuil - 75007 Paris.

Commentaire de la carte de voeux présentée cette année

Il s’agit d’un simple rabbin en train de faire sonner le shofar. Les "ailes" n’en sont pas. Il s’agit simplement du bas du tallith porté par l’officiant. Les deux parties dorées qui émergent sont ses pieds en position dynamique et aérienne, invitant chacun à vivre de façon joyeuse le passage vers une année nouvelle. Le carré encadrant le personnage est tronqué en deux parties qui ne sont pas complètement dissociées mais gardent un précieux contact, signifiant ainsi que deux années se succèdent et nous font passer d’un degré du temps à un autre sans qu’il y ait perte et abandon de soi.
La sonnerie du shofar exprime la victoire de l’immortalité de la vie sur les évanouissements successifs du temps.
Discontinuité du temps et permanence de l’esprit. Message universel. Le rabbin représenté sur cette image est aussi une allégorie de l’humanité toute entière.